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International

Le Congrès péruvien refuse à Boluarte la permission d’assister à l’Assemblée de l’ONU

Le Congrès du Pérou a refusé mardi la permission à la présidente Dina Boluarte de se rendre aux États-Unis et, ainsi, d’assister à l’Assemblée générale des Nations Unies (ONU) qui se tiendra la semaine prochaine du 21 au 26 septembre.

Avec 50 voix pour, 55 contre et 5 abstentions, le Congrès n’a pas accordé de permis de voyage à Boluarte, une condition obligatoire que les dirigeants péruviens doivent demander pour quitter le pays, et ne pourra donc pas participer à la Semaine de haut niveau de la soixante-dix-neuvième session de l’Assemblée générale des Nations Unies.

L’exécutif a présenté le 6 septembre le projet de résolution législative qui détaillait que le voyage de la présidente à New York devait avoir lieu entre le 22 et le 25 septembre, période pendant laquelle elle devait être en charge du bureau présidentiel à distance.

Les incendies de forêt qui ont dévasté des milliers d’hectares du territoire péruvien et qui ont jusqu’à présent fait 15 morts ont été le principal argument avancé par les membres du Congrès pour refuser le voyage.

« Je pense que la présidente ne peut pas voyager, d’abord parce que la loi qui l’autorise à voyager à mon avis est inconstitutionnelle, deuxièmement, elle doit être ici et doit diriger personnellement, au moins au Centre national des opérations d’urgence (COEN), les actions pour remédier à cette situation très grave », a déclaré le parlementaire progressiste Susel Paredes du Bloc démocratique populaire lors du débat avant le vote.

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De même, le parlementaire Francis Paredes, du parti de droite Podemos Perú, a déclaré que « loin d’aller aux États-Unis », le président devrait se rendre à Ucayali, Ayacucho ou Tumbes pour « connaître la véritable situation que traverse le pays ».

Les membres du Congrès de gauche, des partis Perú Libre, la Bancada Socialista, le Bloco Democrático Popular, mais aussi le groupe ultraconservateur Renovación Popular et la majorité des non-groupés ont voté contre.

Au contraire, les députés du parti fujimoriste Fuerza Popular et Alianza para el Progreso, ainsi qu’une partie des droitiers Avanza País, Acción Popular et Honor y Democracia, ont soutenu le voyage de Boluarte.

L’autorisation de Boluarte de quitter le pays devait être soutenue en plénière par le chancelier Elmer Schialer, mais le président du Congrès, Eduardo Salhuana, lui a demandé de ne pas le faire en signe de deuil de la mort du membre du Congrès Hitler Saavedra, qui a été retrouvé mort ce mardi dans une chambre d’hôtel de la ville méridionale de Cuzco.

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International

Drame à Saint-Domingue : les causes de l’effondrement restent inconnues

Alors que les questions s’accumulent autour de l’effondrement du toit de la discothèque Jet Set à Saint-Domingue, les enquêtes commencent pour déterminer les causes de l’accident. Pendant ce temps, les familles des victimes perdent patience dans les morgues, dans l’attente de pouvoir identifier leurs proches.

Quatre jours se sont écoulés depuis que le toit de la célèbre discothèque Jet Set, haut lieu de la vie nocturne à Saint-Domingue, capitale de la République dominicaine, s’est effondré sur environ 400 personnes présentes dans l’établissement. Le dernier bilan officiel fait état de 221 morts et 189 blessés, mais les causes de cette tragédie restent encore floues.

Le gouvernement dominicain a publié un rapport préliminaire vendredi concernant l’effondrement, mais celui-ci n’éclaircit pas les raisons de la catastrophe. Des experts nationaux et internationaux poursuivent les investigations afin de déterminer les éventuelles défaillances structurelles.

Témoignant de l’inquiétude générale, le président dominicain Luis Abinader a déclaré vendredi que le pays doit désormais obtenir des réponses claires sur « ce qui s’est passé, pourquoi cela s’est produit, et comment cela a pu arriver ».

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International

Saint-Domingue : le bilan de l’effondrement d’une discothèque grimpe à 225 morts

Le nombre de victimes décédées suite à l’effondrement du toit d’une discothèque à Saint-Domingue, survenu mardi dernier, s’élève désormais à 225, ont annoncé les autorités sanitaires dominicaines ce samedi.

Le ministre de la Santé publique, Víctor Atallah, a communiqué ces chiffres aux médias. Jusqu’à hier, le bilan faisait état de 221 morts et 189 blessés.

Selon Atallah, quatre nouveaux décès ont été enregistrés dans des établissements de santé entre la nuit de vendredi et la matinée de ce samedi.

« Le nombre actuel de décès est de 225, mais ce chiffre pourrait encore augmenter, espérons que non », a déclaré le ministre lors d’une conférence de presse à l’Institut de Pathologie Médico-légale (IPF).

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Amérique centrale

Présence militaire américaine au Panama : accord sensible autour du canal

Le Panama autorisera la présence de troupes américaines dans des zones d’accès et adjacentes au canal interocéanique, selon un accord bilatéral diffusé ce jeudi par le gouvernement panaméen, qui précise qu’il ne s’agit pas de bases militaires.

La présence de troupes américaines reste un sujet sensible dans ce pays d’Amérique centrale, rappelant l’époque où les États-Unis disposaient d’un enclave avec des bases militaires, avant de restituer le canal au Panama en décembre 1999.

Selon l’accord signé par le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, et le ministre panaméen de la Sécurité, Frank Ábrego, les militaires et contractuels américains « pourront utiliser les emplacements autorisés, les installations et les zones désignées pour fournir de la formation, mener des actions humanitaires (…) et des exercices ».

L’accord, d’une durée initiale de trois ans renouvelable, stipule que les installations resteront la propriété de l’État panaméen et seront utilisées de manière conjointe avec les forces de sécurité des deux pays.

Mercredi, Hegseth avait déclaré lors d’une conférence de presse à Panama que les exercices conjoints de défense représentaient « une opportunité de faire revivre » une « base militaire » opérée par des troupes américaines, des propos qui ont suscité de vives réactions.

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« Nous ne pouvons accepter ni bases militaires ni sites de défense », a réagi Ábrego lors de la même conférence.

Depuis son retour au pouvoir en janvier dernier, le président Donald Trump a menacé de « récupérer » le canal de Panama, construit par les États-Unis, en affirmant qu’il se trouve désormais sous influence chinoise.

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