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International

Lula minimise l’opposition française à l’accord UE-Mercosur et vise une signature en 2024

Le président du Brésil, Luiz Inácio Lula da Silva, a minimisé ce mercredi l’opposition française à l’accord commercial entre l’Union européenne (UE) et le Mercosur, tout en se montrant optimiste quant à la signature de l’accord cette année.

« Les Français ne veulent pas de l’accord, mais ils n’ont aucune influence… Ceux qui comptent, c’est la Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a le pouvoir de conclure cet accord », a déclaré Lula lors d’une réunion avec des industriels.

Le président, qui participera la semaine prochaine au sommet des dirigeants du Mercosur en Uruguay, a affirmé son intention de conclure l’accord avant la fin de l’année afin de « tourner définitivement la page ».

Dans son discours, Lula a également critiqué un député français qui, mardi, avait comparé la viande sud-américaine à des déchets lors d’une session parlementaire au cours de laquelle une majorité écrasante s’était exprimée symboliquement contre la signature de l’accord.

« Je veux que le secteur agroalimentaire continue de croître et d’agacer ce député français qui a méprisé les produits brésiliens », a lancé le président.

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Les critiques des agriculteurs français, qui redoutent une « concurrence déloyale » de la part des pays du Mercosur, ont conduit le PDG de Carrefour, Alexandre Bompard, à déclarer la semaine dernière que la viande du bloc ne répondait pas aux normes. Il avait également annoncé que les magasins Carrefour en France cesseraient d’en vendre.

Cette position a déclenché des tensions avec le secteur agroalimentaire brésilien, qui a suspendu la fourniture de viande à la chaîne de supermarchés au Brésil, obligeant Bompard à présenter ses excuses.

Les négociations autour de l’accord UE-Mercosur, qui rassemble le Brésil, l’Argentine, l’Uruguay, le Paraguay et la Bolivie, durent depuis plus de deux décennies. Elles ont été ralenties ces derniers mois par les exigences environnementales de l’UE.

Cependant, la Commission européenne et des gouvernements comme celui de l’Espagne, ainsi que des pays comme le Brésil, souhaitent conclure ce traité dans les plus brefs délais.

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International

María Corina Machado sort de la clandestinité pour appeler à une manifestation historique

La cheffe de l’opposition vénézuélienne, María Corina Machado, a confirmé ce mardi qu’elle sortira de la clandestinité pour participer à la manifestation qu’elle a convoquée le 9 janvier, à la veille de l’investiture présidentielle. Les deux candidats, le président sortant Nicolás Maduro et l’opposant Edmundo González Urrutia, revendiquent leur légitimité pour ce poste.

« Je ne manquerai cette journée pour rien au monde. C’est un jour historique, un jour où tous les Vénézuéliens veulent être présents », a déclaré l’ancienne députée lors d’une conférence de presse virtuelle. Elle a réitéré sa reconnaissance de la victoire de González Urrutia lors des élections présidentielles du 28 juillet, bien que le Conseil National Électoral (CNE) ait déclaré Maduro vainqueur, un résultat rejeté par l’opposition et une grande partie de la communauté internationale.

Machado a invité « tout le monde, y compris les enfants, les jeunes et, surtout, les grands-mères » à se joindre à la manifestation prévue à 10 heures dans toutes les villes et villages du Venezuela. À l’étranger, l’heure dépendra du fuseau horaire local.

Elle a également demandé aux participants de porter des t-shirts aux couleurs du drapeau vénézuélien : jaune, bleu ou rouge, laissant à chacun le choix du coloris.

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International

Les États-Unis dénoncent l’enlèvement du gendre d’un opposant vénézuélien

Les États-Unis ont condamné ce mardi l’enlèvement à Caracas de Rafael Tudares, gendre du leader de l’opposition vénézuélienne Edmundo González Urrutia, le qualifiant d’acte d' »intimidation » de la part du gouvernement de Nicolás Maduro contre l’opposition.

« Nous condamnons les tentatives de Maduro et de ses représentants d’intimider l’opposition démocratique au Venezuela. La répression et l’intimidation ne peuvent cacher la vérité », a déclaré le Département d’État sur les réseaux sociaux.

Cette déclaration fait référence à la dénonciation de González Urrutia, qui a rapporté que son gendre avait été enlevé à Caracas alors qu’il accompagnait ses enfants à l’école.

« Ce matin, mon gendre Rafael Tudares a été enlevé. Il conduisait mes petits-enfants de 7 et 6 ans à l’école pour la rentrée des classes à Caracas, lorsqu’il a été intercepté par des hommes cagoulés, vêtus de noir, qui l’ont forcé à monter dans un véhicule doré immatriculé AA54E2C. Il est porté disparu depuis », a dénoncé l’opposant.

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International

Le président élu Trump envisage des actions militaires et économiques pour renforcer la sécurité des États-Unis

Le président élu des États-Unis, Donald Trump, a déclaré ce mardi qu’il n’excluait pas l’usage de la force militaire pour reprendre le contrôle du canal de Panama. Il a également réitéré ses accusations contre le Panama, qu’il accuse d’imposer des tarifs de passage excessifs aux navires américains utilisant cette voie stratégique entre l’Atlantique et le Pacifique.

Lors d’une conférence de presse tenue à Mar-a-Lago, en Floride, Trump a été interrogé sur la possibilité d’utiliser des « coercitions militaires ou économiques » pour atteindre son objectif de contrôler le canal de Panama et l’île de Groenland (Danemark). Sa réponse a été claire : « Non, je ne peux pas exclure ces options, car nous avons besoin de ces territoires pour notre sécurité économique. »

Ces déclarations surviennent après que Donald Trump Jr., fils aîné du président élu, a atterri mardi matin au Groenland. Cette visite alimente les spéculations sur une éventuelle tentative de l’administration Trump pour acquérir cette île autonome sous administration danoise, où les États-Unis possèdent une base militaire stratégique influente dans la région arctique.

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