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International

L’OEA élira le successeur de Luis Almagro le 10 mars 2025

L’Organisation des États américains (OEA) tiendra le 10 mars 2025 une session extraordinaire de son Assemblée générale pour élire le nouveau secrétaire général de l’organisme en remplacement de Luis Almagro, qui terminera son mandat.

Le Conseil permanent de l’OEA, réuni à Washington, a adopté mercredi une résolution établissant le calendrier de l’élection de l’année prochaine du secrétaire général et du secrétaire général adjoint.

Le Suriname et le Paraguay ont exprimé leur intention de présenter des candidats au Secrétariat général, occupé pendant deux mandats consécutifs par l’Uruguayen Luis Almagro, qui a commencé son administration en 2015 et a été réélu en 2020.

La résolution approuvée convoque une session extraordinaire de l’Assemblée générale pour le lundi 10 mars 2025 à Washington dans le but d’élire le successeur d’Almagro, dont le mandat expire le 25 mai de la même année.

Le Suriname et le Paraguay, intéressés à présenter des candidats pour succéder à Almagro à l’OEA

Les États membres intéressés doivent présenter leurs candidats au poste de secrétaire général le 3 février et ces candidats doivent présenter leurs propositions lors d’une session du Conseil permanent qui se tiendra le 10 février.

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Une autre session de l’Assemblée générale est également convoquée pour le lundi 5 mai 2025, au cours de laquelle le nouveau secrétaire général adjoint sera élu, un poste occupé par le bélizán Néstor Méndez depuis 2015.

Pour l’instant, le Suriname et le Paraguay ont exprimé leur intention de présenter leurs ministres des Affaires étrangères, Albert Ramdin et Rubén Ramírez Lezcano, respectivement, au poste de secrétaire général.

Pour être élu secrétaire général, le candidat doit obtenir le soutien de la majorité simple des États membres, soit 17 voix.

Sur les 35 pays qui sont devenus membres de l’OEA, il y a aujourd’hui 32 États actifs, étant donné que Cuba est exclu depuis 1962, le Nicaragua a quitté l’organisme en 2023 et le Venezuela n’y participe pas.

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International

Maduro appelle les Colombiens à soutenir Petro face aux menaces

Nicolás Maduro, qui a prêté serment pour un troisième mandat le 10 janvier après sa réélection controversée, a appelé ce lundi les Colombiens à soutenir le président Gustavo Petro, après que ce dernier a dénoncé que « les narcotrafiquants » avaient acheté deux missiles pour attaquer son avion en raison du travail de son gouvernement contre « les grandes mafias » du pays andin.

« Je demande au peuple colombien et à toutes les institutions en Colombie d’accompagner le président Petro, de le soutenir afin qu’il puisse continuer à diriger démocratiquement les destinées de la Colombie », a déclaré Maduro dans son émission télévisée hebdomadaire.

Le leader chaviste a mis à disposition du président colombien « l’expérience en renseignement » de son administration pour retrouver les responsables présumés de ces menaces.

Mardi dernier, Petro a dénoncé que « les narcotrafiquants » avaient acquis deux missiles pour attaquer son avion en raison de son combat contre « les grandes mafias » en Colombie.

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International

Trump confiant : un accord pour mettre fin à la guerre en Ukraine pourrait être conclu cette semaine

Le président des États-Unis, Donald Trump, s’est dit convaincu que Washington pourrait négocier avec succès la fin du conflit en Ukraine « cette semaine », a déclaré samedi la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt.

« Le président et son équipe sont très concentrés sur la poursuite des négociations avec les deux parties de cette guerre afin d’y mettre fin, et le président a pleinement confiance en notre capacité à y parvenir cette semaine », a affirmé Leavitt dans le jardin sud de la Maison Blanche après son retour de la Conférence d’Action Politique Conservatrice, selon le principal site politique américain « The Hill ».

La porte-parole a également indiqué que le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, avait participé à des discussions sur un accord proposé avec l’Ukraine concernant l’exploitation de minéraux bruts.

« En ce qui concerne les minéraux critiques, c’est un élément essentiel pour le président. Il s’agit d’un enjeu très important pour lui, car cela permettra de récupérer l’argent des contribuables américains », a-t-elle ajouté, citée par « The Hill ».

Par ailleurs, le président du Parlement ukrainien a annoncé que le gouvernement ukrainien commencerait à travailler sérieusement dès le début de la semaine prochaine pour finaliser un accord sur les minéraux terrestres et les garanties de sécurité avec les États-Unis, selon des rapports en provenance d’Ukraine.

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Ruslan Stefanchuk, proche du président ukrainien Volodymyr Zelenskyy, a déclaré vendredi que le gouvernement ukrainien enverrait une équipe d’experts dès lundi pour travailler à la signature d’un accord avec les États-Unis.

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International

Bukele critique le Connecticut pour une « violation claire des droits de l’homme » après la libération d’un meurtrier cannibale

Le président de la République, Nayib Bukele, a écrit sur X que l’État du Connecticut, aux États-Unis, a commis « une violation claire des droits de l’homme » en libérant un homme accusé de meurtre et de cannibalisme sur sa propre victime.

« C’est aussi une violation claire des droits de l’homme de la part de l’État du Connecticut », a déclaré le chef d’État sur le réseau social après avoir appris la décision du Psychiatric Security Review Board (PSRB) du Connecticut de libérer Tyree Smith.

Le PSRB a accordé la liberté à Smith malgré la confirmation qu’en janvier 2012, il avait tué Ángel González à la hache dans la ville de Bridgeport et avait consommé une partie de son cerveau ainsi qu’un globe oculaire, selon des rapports de presse en provenance des États-Unis.

« Lors du procès, une cousine de Smith a témoigné qu’il lui avait avoué avoir mangé des parties du cerveau et un œil de González tout en buvant du saké », rappelle le média Infobae, ajoutant que « ce verdict a provoqué l’indignation des proches de la victime et des législateurs de l’État, qui remettent en question la sécurité publique face à cette décision ».

Smith, qui se trouve actuellement au Connecticut Valley Hospital à Middletown, a obtenu sa libération « après un examen minutieux de ses progrès cliniques », selon des rapports de presse citant des responsables.

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