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International

Lula affirme que l’accord sur Gaza apporte « de l’espoir » mais demande une solution « durable »

Le président brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva, a déclaré mercredi que l’annonce d’un cessez-le-feu à Gaza, après un accord entre le Hamas et Israël, apporte « de l’espoir », mais a réclamé une solution « durable » au conflit.

« Que l’interruption des conflits et la libération des otages aident à construire une solution durable qui apporte la paix et la stabilité à l’ensemble du Moyen-Orient », a-t-il écrit sur les réseaux sociaux.

Le ministère brésilien des Affaires étrangères a ajouté dans un communiqué qu’il exhortait les parties à « respecter les termes de l’accord et à assurer la cessation permanente des hostilités, la libération des otages et l’entrée sans entrave de l’aide humanitaire à Gaza ».

En outre, le ministère des Affaires étrangères a demandé que les « conditions nécessaires » soient assurées pour le début du « processus urgent de reconstruction », après un conflit de 15 mois au cours duquel les bombardements israéliens ont rasé une grande partie du territoire palestinien.

L’accord, que le gouvernement israélien doit encore ratifier, prévoit une cessation initiale des hostilités de 42 jours, en échange de la libération d’otages israéliens et de prisonniers palestiniens.

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Au-delà de la résolution immédiate du conflit actuel, l’exécutif brésilien a appelé à la reprise « immédiate » du processus de paix et a réitéré son engagement en faveur de la solution à deux États.

L’attaque terroriste du Hamas contre plusieurs communautés israéliennes en octobre 2023 a causé la mort d’envinon 1 200 personnes, tandis que l’offensive ultérieure de l’État juif à Gaza a coûté la vie à plus de 46 000 personnes, dont beaucoup de femmes et d’enfants.

Lula a condamné les actions du Hamas, ainsi que la réponse déclenchée par Israël, que le président a même comparé à l’Holocauste nazi.

Pour cette déclaration, le président a été déclaré persona non grata par le gouvernement de Benjamin Netanyahu et l’ambassadeur brésilien a reçu une réprimande publique, après quoi les autorités du pays d’Amérique latine ont convoqué le diplomate à Brasilia en signe de protestation.

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Amérique centrale

Petro demande à Bukele de libérer les Colombiens détenus au Salvador

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a demandé samedi à son homologue salvadorien, Nayib Bukele, de remettre les Colombiens emprisonnés au Salvador, en vertu de la décision de justice américaine suspendant les expulsions de migrants depuis les États-Unis vers ce pays d’Amérique centrale.

La Cour suprême des États-Unis a ordonné de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, les expulsions de migrants supposément liés à des gangs vénézuéliens, du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador.

« Nous n’acceptons pas, et la justice américaine non plus, que l’on criminalise les enfants du Venezuela », a déclaré Petro sur son compte X, qualifiant la décision de la Cour de « jugement universel ».

Le président américain Donald Trump avait invoqué en mars la Loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter de prétendus membres du gang Tren de Aragua et les envoyer au Salvador. Un groupe de Vénézuéliens a déjà été expulsé le mois dernier sur la base de cette loi.

Les avocats des familles des détenus, ainsi que des défenseurs des droits humains, affirment toutefois que ces migrants ne faisaient partie d’aucun groupe criminel.

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« Aucun Latino-Américain démocrate ne peut accepter que tout un peuple en exil soit criminalisé à cause des crimes du groupe appelé ‘Tren de Aragua’ », a insisté Petro.

Il a également exigé : « Rendez-nous les Colombiens que vous avez dans vos prisons. Libérez le peuple vénézuélien ».

Le président colombien a réitéré que traiter les migrants comme des criminels est une idée « fasciste », héritée du fascisme européen.

Jusqu’à présent, cette loi n’avait été utilisée que pendant la guerre de 1812 contre l’Empire britannique et ses colonies canadiennes, ainsi que lors des deux guerres mondiales du XXe siècle.

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International

Migrants vénézuéliens : controverse autour d’un arrêt de la Cour suprême en pleine nuit

Un juge conservateur de la Cour suprême des États-Unis a critiqué l’intervention du plus haut tribunal du pays, samedi, visant à suspendre l’expulsion de migrants vénézuéliens ordonnée par le président Donald Trump, qualifiant la décision de « précipitée » et « juridiquement contestable ».

La Cour suprême a interrompu, dans les premières heures de samedi, l’expulsion de prétendus membres de gangs vénézuéliens depuis l’État du Texas vers une prison de haute sécurité au Salvador, suite à un décret de l’administration Trump fondé sur une loi du XVIIIe siècle.

Les juges conservateurs Samuel Alito et Clarence Thomas ont été les seuls à s’opposer à la décision majoritaire parmi les neuf membres de la Cour.

« Littéralement au milieu de la nuit, la Cour a émis une mesure sans précédent et juridiquement discutable (…) sans entendre la partie adverse, dans les huit heures suivant la réception de la requête », a déclaré Alito dans un communiqué.

« Nous n’avions aucune raison valable de penser que, dans ces circonstances, publier un ordre à minuit était nécessaire ou approprié », a-t-il ajouté.

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International

Edmundo González Urrutia : « Le Venezuela crie au changement »

Le leader antichaviste Edmundo González Urrutia, en exil depuis septembre dernier après avoir dénoncé une « persécution » à son encontre, a affirmé ce samedi que le Venezuela « crie au changement », à l’occasion du 215e anniversaire du début du processus d’indépendance du pays face à la Couronne espagnole.

L’ancien ambassadeur, qui revendique la présidence de son pays, a souligné que le 19 avril 1810, « un peuple courageux a élevé la voix et décidé que le destin du Venezuela devait être entre les mains des Vénézuéliens ».

« Aujourd’hui, comme à l’époque, le pays réclame un changement. Pour la dignité. Pour la liberté. Nous sommes les héritiers d’un esprit indomptable qui ne se soumet pas à l’adversité. L’engagement envers le Venezuela est inébranlable. La lutte est pour un pays libre, juste et en paix », a-t-il écrit sur le réseau social X.

González Urrutia a également dénoncé une « fraude » lors de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, au cours de laquelle l’organisme électoral, contrôlé par le chavisme, a proclamé la réélection controversée de Nicolás Maduro. Ce dernier a prêté serment en janvier pour un troisième mandat consécutif de six ans, ce que la principale coalition d’opposition — la Plateforme d’unité démocratique (PUD) — a qualifié de « coup d’État ».

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