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International

La Colombie propose de financer le rapatriement de ses citoyens expulsés des États-Unis

Le gouvernement colombien s’est proposé de prendre en charge les frais de transport aérien et maritime de ses citoyens expulsés des États-Unis afin de garantir leur retour dans des conditions dignes, a annoncé le ministère des Affaires étrangères ce vendredi.

« Nous avons proposé à Mauricio Claver-Carone, envoyé spécial du président Donald Trump pour l’Amérique latine, d’assumer immédiatement le transfert de tous les citoyens expulsés par les États-Unis », indique un communiqué de presse. « Toutes les options de transport, aérien et maritime, sont actuellement en cours d’évaluation », précise le document.

Les conditions du retour des Colombiens ont provoqué une tension diplomatique ce week-end. Le président Gustavo Petro a dénoncé de prétendus mauvais traitements infligés à ses compatriotes et a interdit l’entrée sur le territoire de deux avions militaires américains, qui devaient atterrir dimanche avec plusieurs dizaines de Colombiens à bord.

En réponse, Donald Trump a imposé des tarifs douaniers et menacé de révoquer les visas des fonctionnaires du premier gouvernement de gauche en Colombie.

Cependant, l’incident diplomatique s’est calmé en quelques heures, après que la Maison-Blanche a assuré que la Colombie avait accepté ses conditions, conduisant ainsi Washington à annuler ses mesures de rétorsion.

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Amérique centrale

Nicaragua : La CIDH dénonce la répression étatique continue sous le régime d’Ortega

La Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH) a dénoncé et condamné ce lundi « la consolidation d’un régime autoritaire » au Nicaragua, un pays dirigé par l’ex-guérillero sandiniste Daniel Ortega depuis 2007, et qui vit depuis sept ans une crise socio-politique et des droits humains.

« A sept ans du début de la crise des droits de l’homme au Nicaragua, la CIDH condamne la répression étatique continue et la consolidation d’un régime autoritaire », a indiqué l’organisme dans une déclaration publique.

En avril 2018, des milliers de Nicaraguayens sont descendus dans les rues pour protester contre des réformes controversées de la sécurité sociale, qui, après une réponse violente de l’État, se sont transformées en une exigence de démission du président, Daniel Ortega.

Les manifestations ont fait au moins 355 morts, selon la CIDH, bien que des organismes nicaraguayens augmentent ce chiffre à 684, tandis qu’Ortega reconnaît « plus de 300 » et maintient qu’il s’agissait d’une tentative de coup d’État.

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International

Trump critique Biden et Zelensky lors de la conférence de presse avec Nayib Bukele

Le président des États-Unis, Donald Trump, a reçu ce lundi à la Maison Blanche son homologue salvadorien, Nayib Bukele, dans le but d’élargir l’accord entre les deux pays pour expulser davantage d’immigrants vers le pays d’Amérique centrale, qui est devenu un pilier de la campagne d’expulsions de son administration.

Après leur réunion, et lors d’une conférence de presse conjointe, Trump a réaffirmé que l’invasion de l’Ukraine par la Russie n’aurait pas eu lieu s’il avait été président en 2022. « Si Biden et Zelensky avaient été compétents, cette guerre ne serait pas survenue. Dès qu’ils ont truqué les élections, cet épisode a commencé », a déclaré Trump, répétant la théorie du complot sur les élections qu’il a perdues en 2020, ce qui a conduit à une tentative de coup d’État au Capitole.

« Il faut blâmer tout le monde : Biden, Zelensky et Poutine », a ajouté le président. « On ne commence pas une guerre contre quelqu’un 20 fois plus grand que soi et on espère que les gens vont vous donner des missiles. Biden n’avait aucune idée de ce qu’il faisait. Je ne peux que tenter d’arrêter ce bain de sang et je pense que nous faisons bien. »

En plus de Bukele, très souriant pendant toute la conférence, des personnalités de l’administration Trump, comme Marco Rubio, le secrétaire d’État, et Pam Bondi, la procureure générale des États-Unis, étaient présentes devant les caméras.

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International

Le maire de New York exprime ses condoléances et son soutien à la République Dominicaine après l’effondrement de la discothèque Jet Set

Le maire de New York, Eric Adams, a exprimé ce lundi sa volonté de collaborer avec le gouvernement de la République Dominicaine sur tout ce qui serait jugé prudent dans le cadre de l’enquête sur l’effondrement du toit de la discothèque Jet Set, une tragédie qui a fait au moins 231 morts.

« Nous devons transformer cette douleur en objectif, et en tant que maire, je vais offrir mon aide pour faire tout ce qui est possible pour empêcher qu’un incident similaire ne se reproduise. Nous devons cela à toutes les personnes que nous avons perdues », a-t-il déclaré lors de sa visite sur les lieux de l’incident, où il a déposé un bouquet de fleurs. Lors de sa visite, Adams a exprimé ses condoléances aux familles des victimes et a souligné le lien fort qui unit New York à la République Dominicaine. « Il y a une différence entre lire une tragédie et la voir dans les nouvelles, mais l’impact d’être ici aujourd’hui et de voir les visages des personnes que nous avons perdues est quelque chose que je devais faire », a-t-il ajouté.

« Les Dominicains à New York croient en la famille, croient en la foi, croient en la sécurité publique, croient en les enfants (…) Mon cœur est complètement brisé. Et je ne pourrai jamais oublier les images que j’ai vues ici aujourd’hui », a-t-il souligné.

Ce lundi, 12 personnes blessées lors de l’incident restaient hospitalisées, trois d’entre elles dans un état grave, a rapporté le Service national de santé. La semaine dernière, le gouvernement a annoncé avoir chargé une équipe d’experts d’étudier les faits.

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