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International

L’ONU répond à Trump que « toute expulsion est interdite »

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme, Volker Türk, a répondu ce mercredi à la proposition du président américain Donald Trump d’expulser les Palestiniens de la bande de Gaza vers d’autres pays en rappelant que « toute déportation ou transfert forcé de personnes d’un territoire occupé est strictement interdit ».

« Le droit international est très clair, l’autodétermination est un principe fondamental et doit être protégée par tous les États, comme l’a récemment souligné la Cour internationale de justice », a déclaré Türk dans un message écrit en réponse à une question d’EFE.

« La souffrance des personnes dans le Territoire palestinien occupé et en Israël a été insupportable, nous devons entrer dans une nouvelle phase pour garantir la paix et la sécurité des Palestiniens et des Israéliens sur la base de la dignité et de l’égalité », a-t-il ajouté.

Türk a insisté à cet égard pour poursuivre les phases successives du cessez-le-feu actuel, afin de libérer tous les otages et prisonniers détenus arbitrairement, « et mettre fin à la guerre pour reconstruire Gaza dans le plein respect du droit humanitaire international et des droits de l’homme ».

Auparavant, le président de l’Autorité nationale palestinienne (ANP), Mahmoud Abas, a rejeté mercredi la proposition de Trump, rappelant que Gaza fait « partie intégrante » de l’État palestinien.

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Trump a déclaré mardi, lors d’une conférence de presse avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, que les États-Unis « prendront le contrôle » de la bande de Gaza à long terme et la reconstruiront, en la transformant en nouvelle « rive du Moyen-Orient », après avoir rééstablé définitivement les Palestiniens dans d’autres pays.

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International

Trois dirigeants du Hamas tués lors des attaques israéliennes à Gaza, dont le ministre de l’Intérieur

Dans les attaques, trois autres « dirigeants du gouvernement » de Gaza ont également perdu la vie, dont le ministre de l’Intérieur, Mahmud Abu Watfa, et le directeur général des services de sécurité intérieure, Bahjat Abu Sultan, selon le « communiqué de condoléances » diffusé par le Hamas.

Le général de division Abu Watfa était à la tête du ministère de l’Intérieur du gouvernement du Hamas à Gaza et a été vu dans l’enclave en janvier, après la signature de l’accord de trêve, accompagnant le déploiement de la police dans les rues. Sa mort lors des attaques israéliennes de la nuit a été annoncée à l’AFP quelques heures plus tard par deux sources du Hamas à Gaza.

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International

Hunter et Ashley Biden perdent leur protection : Trump annule la décision de Biden

Le président des États-Unis, Donald Trump, a annoncé ce lundi qu’il mettrait fin immédiatement à la protection du Secret Service accordée aux deux enfants de l’ancien président Joe Biden (2021-2025), Hunter et Ashley Biden.

Trump a fait cette annonce sur son réseau Truth Social, une décision qui s’inscrit dans une série de suppressions similaires, notamment celle de la protection de l’immunologue Anthony Fauci, qui a dirigé la réponse des États-Unis à la pandémie de Covid-19, et celle de l’ancien chef d’état-major Mark Milley.

« Hunter Biden a bénéficié de la protection du Secret Service pendant une période prolongée, entièrement financée par les contribuables américains », a critiqué Trump.

Selon lui, Hunter Biden disposait de 18 agents de sécurité lors de son séjour en Afrique du Sud, tandis que Ashley Biden en avait 13. En règle générale, seuls les anciens présidents et leurs conjoints bénéficient d’une protection à vie du Secret Service, tandis que la protection des autres membres de la famille prend fin lorsque le président quitte ses fonctions.

Cependant, en janvier dernier, Biden avait prolongé la protection de ses enfants pour six mois supplémentaires, jusqu’en juillet, juste avant de céder le pouvoir à Trump.

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Hunter Biden, condamné l’année dernière pour des délits fiscaux et de possession d’armes, est au centre d’une intense pression et de menaces de la part de Trump et de ses partisans.

Avant de quitter la présidence, Biden lui avait accordé une grâce présidentielle, revenant ainsi sur sa promesse de ne pas interférer dans les affaires judiciaires de son fils.

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International

La politique migratoire de Trump en crise après le refus d’exécuter des ordres judiciaires

Les expulsions et la politique migratoire du gouvernement de Donald Trump se retrouvent au centre d’une tempête judiciaire, entraînant une confrontation entre la Maison-Blanche et la justice américaine. L’administration Trump a refusé de se conformer à au moins deux ordonnances judiciaires, y compris celle d’un juge fédéral qui a tenté, sans succès, de stopper deux vols de déportation vers le Salvador transportant des présumés criminels appartenant aux gangs Tren de Aragua et MS-13, tous deux classés comme organisations terroristes par le gouvernement américain.

Outre ce conflit avec un juge du district de Columbia, le gouvernement Trump a également expulsé une professeure libanaise de l’Université Brown, Rasha Alawieh, malgré une ordonnance judiciaire ayant temporairement bloqué son expulsion. Alawieh, qui résidait légalement aux États-Unis, s’était rendue à Beyrouth pour assister aux funérailles de Hassan Nasrallah, le leader du Hezbollah, selon le Département de la Sécurité Intérieure.

Son cas rappelle celui de Mahmoud Khalil, un étudiant de l’Université Columbia titulaire d’une carte de résidence permanente (« green card ») et marié à une citoyenne américaine. L’administration Trump cherche à l’expulser en raison de son implication dans des manifestations pro-palestiniennes sur le campus de Columbia contre la guerre à Gaza.

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