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International

Un accord entre l’IRS et l’ICE permettrait de croiser les données fiscales des immigrants

Le Service des impôts (IRS) est proche d’un accord avec le Service de contrôle de l’immigration et des douanes (ICE) pour partager les adresses des immigrants présumés, ont indiqué quatre sources au Washington Post.

Selon l’accord, l’ICE pourrait envoyer à l’IRS les noms et adresses des immigrants présumés sans papiers afin de les comparer avec les bases de données confidentielles des contribuables, selon les sources, qui ont parlé sous couvert d’anonymat.

En règle générale, les informations fiscales personnelles, y compris le nom et l’adresse d’une personne, sont considérées comme confidentielles et protégées de manière stricte par l’IRS. La divulgation illégale de ces données entraîne des sanctions civiles et pénales. Toutefois, la loi permet le partage d’informations fiscales avec d’autres agences fédérales sous certaines conditions limitées et, en règle générale, avec l’approbation d’un tribunal.

Selon l’accord, l’accès de l’ICE aux données fiscales serait limité à la vérification des adresses des immigrants ayant des ordres d’expulsion définitifs. Les demandes d’accès ne pourraient être faites que par la secrétaire à la Sécurité intérieure, Kristi Noem, ou par le directeur intérimaire de l’ICE, Todd Lyons, et devraient inclure le nom et l’adresse de chaque contribuable, la date de son ordre d’expulsion et d’autres informations permettant à l’IRS de vérifier l’identité du contribuable. L’accord autoriserait également la vérification des données des personnes « soumises à une enquête pénale » pour violation de la loi sur l’immigration.

Bien que les représentants du Département du Trésor et du DHS, les agences respectives de l’IRS et de l’ICE, n’aient pas répondu immédiatement aux demandes de commentaires, le Post rappelle que, depuis des années, l’IRS a garanti aux travailleurs sans papiers que leurs informations fiscales sont confidentielles et qu’ils peuvent soumettre leurs déclarations sans crainte d’expulsion.

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International

Le chanteur Arcángel sort de l’hôpital après une opération du cœur

Le reggaetonero portoricain Arcángel a annoncé ce mardi avoir quitté l’hôpital, après avoir subi ce qu’il décrit comme “l’épreuve la plus grande” que Dieu et la vie lui aient imposée, suite à une intervention chirurgicale sur son cœur “malade et gravement blessé”.

“Je traverse et, en même temps, je surmonte l’épreuve la plus GRANDE que DIEU et la VIE m’aient imposée. J’ai un cœur malade et mal en point qui, malgré tout, REFUSE d’arrêter de battre”, a écrit le chanteur, de son vrai nom Austin Santos, dans une publication sur son compte Instagram.

Dans le post, on voit Arcángel torse nu, allongé sur un lit d’hôpital, une plaie bandée sur la poitrine et un tube semblant servir de drainage pour le cœur. Il partage également une photo en compagnie d’un professionnel de santé, ainsi qu’une vidéo émotive de son départ de la chambre où il était hospitalisé.

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International

Affaire Odebrecht : Ollanta Humala reconnu coupable et écroué à Lima

La justice péruvienne a condamné ce mardi l’ancien président Ollanta Humala à 15 ans de prison pour blanchiment d’argent, après l’avoir reconnu coupable d’avoir reçu des fonds illégaux de la part de l’entreprise brésilienne Odebrecht et du gouvernement vénézuélien pour financer ses campagnes électorales de 2011 et 2006, respectivement.

Âgé de 62 ans, Humala a été arrêté dans la salle d’audience à l’issue de la lecture du verdict, mettant ainsi fin à plus de trois années de procès contre cet ancien lieutenant-colonel de gauche modérée, qui a dirigé le Pérou entre 2011 et 2016. Il devient ainsi le deuxième ancien chef d’État péruvien condamné dans le cadre du scandale Odebrecht, parmi les quatre ex-présidents impliqués.

« Une peine privative de liberté effective de 15 ans est imposée à M. Ollanta Humala », a déclaré la juge Nayko Coronado du Troisième Tribunal de la Cour supérieure lors de la lecture du jugement de première instance, que la défense de l’ex-président prévoit de contester en appel.

Le procureur Germán Juárez s’est déclaré satisfait de la décision judiciaire, affirmant qu’elle avait été rendue « dans le respect du droit à un procès équitable, avec objectivité et impartialité ».

Odebrecht, dont le scandale de corruption et de pots-de-vin a ébranlé plusieurs pays d’Amérique latine, avait reconnu en 2016 avoir versé des dizaines de millions de dollars en dessous-de-table et en financements électoraux illégaux au Pérou depuis le début du XXIe siècle.

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Selon le parquet, le scandale a également impliqué d’autres anciens présidents : Alan García (2006–2011), qui s’est suicidé en 2019 avant d’être arrêté ; Pedro Pablo Kuczynski (2016–2018), toujours sous enquête ; et Alejandro Toledo (2001–2006).

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Amérique centrale

Nicaragua : La CIDH dénonce la répression étatique continue sous le régime d’Ortega

La Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH) a dénoncé et condamné ce lundi « la consolidation d’un régime autoritaire » au Nicaragua, un pays dirigé par l’ex-guérillero sandiniste Daniel Ortega depuis 2007, et qui vit depuis sept ans une crise socio-politique et des droits humains.

« A sept ans du début de la crise des droits de l’homme au Nicaragua, la CIDH condamne la répression étatique continue et la consolidation d’un régime autoritaire », a indiqué l’organisme dans une déclaration publique.

En avril 2018, des milliers de Nicaraguayens sont descendus dans les rues pour protester contre des réformes controversées de la sécurité sociale, qui, après une réponse violente de l’État, se sont transformées en une exigence de démission du président, Daniel Ortega.

Les manifestations ont fait au moins 355 morts, selon la CIDH, bien que des organismes nicaraguayens augmentent ce chiffre à 684, tandis qu’Ortega reconnaît « plus de 300 » et maintient qu’il s’agissait d’une tentative de coup d’État.

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